Face à l’ascendance incessante du nombre des migrants à travers l’Europe, une nouvelle politique concernant les réfugiés de guerre a été dernièrement proposée par de hautes personnalités françaises. En ce sens, le principe s’est surtout basé sur le souci de distinguer les réfugiés politiques des réfugiés de guerre ainsi que des éventuels profiteurs comme de simples migrants par exemple.

Réfugiés politiques et réfugiés de guerre : quelle différence ?

Si l’emploi de certains mots comme migrants, demandeur d’asile, ou même réfugiés de guerre laisse toujours entendre la même chose, il existe toutefois une nuance entre ces termes. Un migrant est par exemple défini comme étant une personne d’une nationalité quelconque qui vit sur une longue période dans un pays qui n’est pas le sien. Son statut peut être différent selon la raison pour laquelle il vit dans le pays en question. Un migrant peut donc être un étudiant étranger ou un travailleur. Quant aux réfugiés de guerre, ce sont en général des personnes vivant dans un pays étranger sur une durée limité. La raison de ce déplacement est surtout liée directement à la guerre éclatant dans son pays d’origine Sont donc considérés comme réfugiés de guerre les tiers fuyant leurs nations par peur d’être persécuté pour différentes raisons.

Que vaut la proposition de Sarkozy sur les réfugiés de guerre ?

Quoi que l’on puisse dire, il faut accepter que la proposition de Nicolas Sarkozy sur les réfugiés de guerre reste simple et précise. Les réfugiés de guerre, bien qu’ils aient besoin de fuir leurs pays, ne doivent être recueillis que provisoirement, ce qui veut dire jusqu’à la fin du conflit. Sarkozy a également insisté sur la distinction des réfugiés politiques qui bénéficient d’un visa de 10 ans des réfugiés de guerre.  Les réfugiés de guerre devant retourner chez eux une fois la guerre, qui est la principale raison de leurs déplacements terminée. Il faut toutefois noter que les propos du président du parti républicain a suscité de nombreuses réactions.